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Avec les conseils du Savéria Coste Docteur en pharmacie, fondatrice du laboratoire Garancia
Piqûre de rappel
Un autobronzant renferme un ou plusieurs ingrédients qui s’oxydent pour produire une teinte brune au contact des protéines de la couche cornée de la peau. C’est donc un produit de maquillage superficiel qui s’élimine en cinq à six jours en même temps que les cellules mortes et qui, surtout ne protège absolument pas des coups de soleil.
De nouveaux actifs « bronzants »
La première génération d’autobronzants ne contenait que de la DHA (dihydroxyacétone) efficace mais trop orangée, desséchante et malodorante. La seconde s’est enrichie en sucres (érythrulose) qui ont permis d’atténuer ces désagréments. La troisième, qui voit le jour cette année, les a effacés tout en perfectionnant les performances : « Une étude a montré qu’en combinant des esters de jojoba aux ingrédients habituels, la peau est bien plus hydratée, ne sent plus l’autobronzant et la teinte est vraiment naturelle. »
Gommage obligatoire
C’est le premier secret d’un résultat uniforme car, vrai ou faux bronzage, toutes les irrégularités de la peau sont accentuées : au niveau des genoux et des talons par exemple où elle est plus épaisse. Pour un résultat uniforme, il est donc important de faire peau lisse avant d’appliquer un autobronzant. Avec un produit à grains ou avec un gant type Loofah.
Trois tips anti-démarcation
- On commence par les pieds, on masse le produit en repassant plusieurs fois au même endroit et on remonte. Avec un gant humidifié, on élimine en tapotant le surplus au niveau des malléoles des chevilles, des genoux et des coudes.
- Si on n’est pas sûre de son coup, on applique d’abord un lait hydratant.
- On laisse bien sécher avant de se rhabiller.
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