L’aliment qu’on trouve toujours chez vous ?
Du fromage. Je sais, ce n’est pas très diététique mais mes enfants, mon mari (Raymond Domenech, ndlr) et moi sommes accros. Pour ma part, je le préfère assez fort, un camembert bien fait ou un Saint-Marcellin, par exemple. En Bretagne, mon fromager me met des petits chèvres de côté, histoire qu’ils soient bien secs quand j’arrive.
Et côté boisson ?
Du Coca zero. J’en bois environ deux verres par jour. Et de la bière ! Je peux vous assurer qu’après une séance de running, en rentrant le soir, vers 19 heures, boire une mousse constitue un des beaux plaisirs de la vie !
Votre addiction ?
Les fruits de mer. Quand je suis en Bretagne, je peux en manger tous les soirs. Les huîtres, notamment. Mes préférées, ce sont les pieds-de-cheval. Je les aime bien charnues.
L’aliment qui vous dégoûte ?
Sincèrement, j’ai assez peu de dégoûts alimentaires. Disons, les conserves. Les raviolis en boîte par exemple. Je peux être adepte de la malbouffe — je ne dis pas non à un fast-food de temps en temps — mais le cassoulet en conserve, beurk !
Quelle note vous donneriez-vous en cuisine ?
Si je m’en donne la peine, 15/20. Mon problème, c’est la présentation. Alors je cuisine des plats de grand-mère qui n’en nécessitent pas trop.
Le plat sur lequel repose votre réputation ?
Le tajine d’agneau au citron confit. J’aime ça parce que le temps de cuisson, assez long, permet de faire autre chose entre-temps. Mes lasagnes ne sont pas mal non plus. En revanche, il faut 2 h 30 pour les préparer !
Votre cantine ?
Pour les déjeuners en famille, nous allons au Lazare, le restaurant d’Éric Fréchon, un ami, situé dans la gare Saint-Lazare. La déco, les plats, tout me plaît. Chez nous, mes enfants soulignent que la purée d’Éric est meilleure que la mienne. Je leur réponds que c’est vrai, mais qu’ils mangeront quand même celle que je leur ai préparée !
Votre restaurant préféré ?
L’Epicure à l’hôtel Bristol, également le restaurant d’Éric Fréchon, pour les moments d’exception. J’y ai fêté mes 40 ans et nous avons dîné dans le bureau d’Éric, au beau milieu des cuisines. C’était magique.
Le luxe en cuisine, c’est…
Pouvoir s’offrir des produits de bonne qualité.
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